Au fil des mots…
Avant le bilan définitif de fin de vie…
Avez-vous déjà entendu parler de Bronnie Ware ?
Bronnie Ware est infirmière Australienne en soins palliatifs.
En 2009, elle a publié un livre intitulé « The Top Five Regrets of the Dying » : les 5 regrets les plus fréquemment exprimés par les personnes en fin de vie.
Elle partageait, durant de son travail, les 3 à 12 dernières semaines de vie de ces personnes et leur demandait si elles avaient des regrets ou si elles auraient aimé faire les choses différemment.
Voici les 5 regrets les plus souvent formulés :
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« J’aurai aimé avoir le courage de vivre ma vie comme je l’entendais et non comme les autres voulaient qu’elle soit ».
C’est un des plus grands regrets formulés. La plupart des gens n’ont même pas réalisé la moitié de leurs rêves d’enfant et doivent partir tout en sachant que c’est à cause des choix qu’ils ont fait ou pas fait.
Réalisez-vous pleinement combien il est important de vivre vos rêves, tant que vous le pouvez, parce qu’après c’est trop tard ?
Ce regret provient surtout des hommes. En général il fait référence à leurs enfants qu’ils n’ont pas réellement vu grandir et la relation avec leur partenaire dont ils n’ont pas assez profité.
Pour éviter de regretter ces choix, pensez à vous préserver un espace de vie sain et choisir un travail compatible avec une vie de famille épanouie.
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« J’aurai aimé avoir le courage d’exprimer mes sentiments ».
Un tas de gens cache leurs sentiments afin d’éviter le conflit. Résultat ? Leur existence est minime à leurs yeux et ils ne deviendront jamais qui ils auraient vraiment pu être.
Comprenez qu’en étant honnête et en disant ce que vous pensez, soit vous rendez vos relations plus saines, soit vous écartez les plus médiocres. Dans tous les cas, vous sortez gagnant.
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« J’aurai aimé rester en contact avec certains amis ».
Très fréquemment, jusqu’à leurs dernières semaines de vie, les personnes ne réalisent pas vraiment l’importance qu’ont les amis de longue date. Ils regrettent de ne pas avoir donné à certaines amitiés le temps et les efforts qu’elles méritaient.
Faites en sorte de ne pas laisser votre métier vous déborder et de vous obliger à mettre vos relations amicales en stand-by. Car voyez-vous, en fin de vie ce qu’il vous reste, ce sont vos souvenirs, vos amis et vos amours.
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« J’aurai aimé me laisser le droit d’être heureux ».
Étonnement, celui-ci est très commun. La grande majorité des gens ne réalisent que peu de temps avant de mourir que le bonheur, c’est un choix ! Par moment, ils ont bien eu envie de tout plaquer pour ne faire que ce qui leur plaisaient, mais ils n’ont jamais osé, n’ont jamais franchi le pas.
Au fil des années, la peur du changement a fini par les convaincre qu’ils étaient heureux comme ça, mais ils se contentaient en fait du minimum.
Sur votre lit de mort, ce que les autres pensent de vous ne vous effleure même pas l’esprit. Les choses qui comptent sont celles qui vous ont apporté de la joie, du bonheur ou de l’amour.
La vie est faite de choix, de VOS choix !
Alors, bien avant le bilan définitif ou même simplement avant le bilan de fin de cette année ; tant qu’il en est encore temps, choisissez consciemment, choisissez follement ou choisissez sagement, peu importe, mais choisissez le bonheur !